Collection Escortboy. Comment JAi Débuté ? Fin De La Saison Ii. (6/6)
Jai passé ma soirée entourée de jeunes et jolies femmes à lhôtel Excelsior dans Paris ayant rencontré celle qui se fait appeler Sabrina, nom demprunt comme moi, je suis passé de Bruno à Célian.
Éléonore, la créatrice du parfum qui a servi de support à notre venue dans ce salon de lhôtel où je me pose encore des questions à quoi nous avons servi.
La rousse, dont jignore le nom, mais qui semble préférer brouter la chatte dÉléonore que de recevoir des bites masculines.
Jai horreur de rester sur ma faim.
Une idée me vient, sur les sacs en papier noirs avec en lettre dor, le nom du parfum me revient à lesprit.
« Nuit chaude.»
Je vais dans une parfumerie près de chez moi.
Jy ai acheté une eau de toilettes de base il y a quelque temps.
La patronne femme dune cinquantaine dannées avait dû me repérer, car cétait sa jeune employée qui mavait servie.
Je mapproche de cette dernière espérant faire jouer mes pectoraux sous ma chemise, mais elle se fait rembarrer et envoyer voir une mémé à lautre bout de la boutique.
Je vois que, discrètement elle détache le premier bouton de son chemisier.
Que puis-je pour vous ?
Je vous ai déjà vu il y a peu, vous résidez dans notre quartier.
La boutique est classe et sa gérante aussi.
Cest le genre de femme que je vais rejoindre souvent pour mon nouveau métier descorte.
Tailleur blanc sur ce chemisier blanc lui-même montrant le gros bombé de sa poitrine.
Chaussure à talons effilés avec des bas résille soulignant le galbe parfait de ses jambes et de sa chute de reins.
La bijouterie et le maquillage montre une bourgeoise très cochonne quand elles viennent dans votre lit.
Avez-vous le parfum, « Nuit chaud », je le cherche ?
Cest pour votre petite amie, je vois que vous êtes sans alliance à votre doigt.
Disant ces mots, elle me met sous mon nez, sa panoplie de bagues.
Avec ses énormes boucles doreilles, surement pas en toc, elle est réellement potentiellement une cliente.
Non, cest pour une cliente à qui je désire loffrir.
Votre cliente a de la chance davoir un beau jeune homme comme vous, pour lui offrir un tel parfum dÉléonore Martial.
Je fais bouger les pectoraux, ma chemise frétille.
Aimez-vous la franchise ?
Plutôt, oui.
Ma cliente a plus de 60 ans et aime encore passer un moment avec un beau jeune homme.
Quand je dis que jaime prendre des risques.
Vous êtes !
Je suis !
Pourquoi en dire plus, on sest compris ?
Je vois quelle regarde si sa serveuse est assez loin de nous, pouvant parler sans quelle nous entende.
Eh peut-on ?
Oui, regardez sur le site où je travaille, Célian, vous aurez tous les renseignements.
Je me garde bien de parler de mes tarifs, elle les découvrira bien assez tôt.
Puis-je me permettre de vous demander votre parfum personnel ?
Cest simple N°5 de Chanel, pourquoi ?
Ou puis-je en trouver dans votre magasin.
Derrière vous, parfum, eau de toilette, vous avez toute la gamme.
Je récupère les deux parfums et lui donne.
Pouvez-vous men faire deux paquets ?
Sylvia, je vois que tu viens de finir avec ta cliente.
Peux-tu me faire deux paquets cadeaux pour monsieur ?
Venez, je vais vous encaisser pendant quelle vous fait les paquets.
Pas donner, surtout le N°5 de Chanel, mais il faut savoir amorcer.
Sylvia arrive à la caisse avec ses paquets et séclipse, un autre homme vient dentrer.
Chère madame, merci, pour tous ces bons renseignements et votre charmant sourire.
Un coup de pectoraux avant de poursuivre.
Ceci est pour vous, pour me faire pardonner de vous avoir demandé le nom de votre parfum.
Jaurais dû me souvenir que des femmes de votre classe portent toujours un tel parfum.
Vil séducteur file avant que je te croque.
Raeeee.
Une vraie féline, si elle veut me manger, il faudra quelle crache quelques billets, mais je suis sûr que si jattends plus de deux jours, ce sera le bout du monde avant de revoir le bout de son nez.
Madame Geneviève, le monsieur a besoin de vos conseils.
Lorsque je quitte la boutique avec mon paquet de chez Éléonore, jai tous les renseignements que je recherchais.
Cest à Courbevoie, grâce à Internet, sans contrat avec des clientes et les vacances de la fac ayant commencé, que je me rends, ayant tout mon temps.
De toute façon, jai mon portable que je peux décrocher et suivre les instructions à tout moment.
Jarrive à létage ou sur la porte est marqué « Parfum Éléonore Martial. »
« Entrer sans frapper. »
Je mexécute, ce sont des bureaux, à la gauche, debout dans toute sa splendeur, la rousse est là.
Éléonore est absente, monsieur.
Elle lève sa tête du document quelle lisait enlevant une paire de lunettes la rendant encore plus belle.
Je vous reconnais, vous étiez à la présentation de « Nuit noire » dans les salons de lhôtel Excelsior.
Jai eu limpression davoir été transparent pour vous.
Deux choses mon marquées, votre belle gueule ainsi que lamour que vous sembliez porter à cette femme après lenveloppe quÉléonore vous avait remise.
Je tombe de haut, cette gouine quil me plairait de ramener dans la droite ligne de ma bite découvrant ainsi si ce que lon dit sur les rousses est vrai, sait que je suis une escorte.
Pouvez-vous mexpliquer ?
Je rentrais de la poste, Éléonore était derrière son bureau dans la pièce vitrée derrière vous.
Elle parlait avec une jeune femme qui lui a tendu les enveloppes quelle est allée vous remettre au bar à votre arrivée.
La jeune femme partie, elle me les a remises, vous gagnez bien votre vie.
Dommage, ma paye y passerait, vu lépaisseur quelle avait.
Sur le bureau derrière elle, son nom, Reine. G.
Comment savez-vous Reine que ces enveloppes étaient pour nous payer ?
Vos noms écrits, le vôtre particulièrement Célian ainsi que le coup de fil quelle a passé à votre agence pour que vous veniez à cette présentation.
Cest simple.
Jai vu votre nom Reine derrière vous, vous connaissez le mien, cest parfait.
Cette jeune femme, était-elle à la présentation ?
Bien sûr, vous lui avez même parlé, jai même trouvé que sétait donné du lard à un cochon quelle soit avec ce vieux ventripotent.
Lauriane, cest elle qui nous a payés, Sabrina et moi.
Je comprends tout, elle mavait dit que si je refusais de la dépuceler, elle coucherait avec un clodo.
Elle la en partie fait, mais cest cet homme à la moumoute dans les bras duquel, elle la perdu.
Nous étions là pour me rendre jaloux et ainsi me faire voir que ce gros porc lavait dépucelé.
Quavez-vous dit, à oui ?
Avec ce que je touche pour passer un moment avec des femmes, vous étiez incapable de vous payer mes services.
Je me rapproche à presque la toucher.
Largent est une chose, lenvie dune belle femme comme toi en est une autre.
Je suis capable de faire abstraction de largent pour une bombe comme toi.
Éléonore est à Grasse dans la parfumerie où elle compose ses parfums, ici ce sont nos bureaux parisiens.
Elle se retourne et prend un trousseau sur son bureau.
Je dois rester jusquà 19 heures, viens, je te donner mes clefs, mon logement est à létage supérieur.
Attends-moi.
Nos bouches se trouvent, son odeur est forte, mais je trouve ça agréable.
À moins quelle soit recouverte de « Nuit noire », ce que je doute, son odeur est poivrée.
Je vais pour lui caresser la poitrine, mais elle me repousse.
Va mattendre, jattends un client dans un instant.
Une chose, je croyais que tu te gouinais avec Éléonore !
Je suis bisexuelle, va mattendre, jespère que tu auras bien du temps pour moi.
À regret, je quitte cette femme, qui va me faire découvrir les mystères des rousses, je laurais bien sauté sur son bureau.
Sur le palier, lascenseur monte, je vois les cheveux grisonnant dun homme au travers des grilles et de la porte vitrée de sécurité.
Je monte vers létage, inutile que je le vois...
Mais à quel jeu joue Lauriane voulant me rendre jaloux.
Même si son hymen est perforé, que cherche-t-elle, vous le saurez dans la saison III de mon histoire, le temps que Chris est le temps de lécrire.
À bientôt, je sens que ma verge va être à la fête ce soir.
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